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C8 : Un homme pour un cerisier

 C8 :  Un homme pour un cerisier
 
 
Chapitre 8:  Un homme pour un cerisier

Cela ne faisait pas bien longtemps que Théa avait eu son problème de perte de conscience que de nouveau, il revenait à la charge.
Elle accueillis la nouvelle non pas avec angoisse. Mais avec soulagement. Ici il n'y avais pas Andréa, Magda ou encore le Blond et le Brun.
Maintenant quelle ne se débattait plus, elle n'était plus enchaînée dans cette espèce de prairie, le temps était clément et elle put réfléchir. Réfléchir à son dernier saut dans le « surnaturel » elle avait pus apprendre ce qui s'était passé entre Carios et Réa et elle plaignait cette femme. Comment avait elle pus supporter de porter le bâtard de son maris en elle ? Elle n'avais rien demander et voilà qu'Athéna par souhait égoïste faisait de la vie de Réa, une vie qu'elle n'avais pas choisis.
Encore dans ses plaintes, Théa vie apparaitrre au bout de quelque minute une ombre, celle de Réa justement.
 
« Ma Belle, tes prière soulage mon c½ur, mais ta situation m'inquiète. Je n'ai jamais le temps de tout t'expliquer alors c'est à toi de chercher. Cherche autour de toi. Renseigne toi sur ta famille, sur moi sur tes visions. Mais ne parle pas sans avoir confiance, évite Andréa au maximum. Ne fait pas de résistance. Tu as la chance d'avoir ton avenir entre tes mains, alors profite en avant que les Parques ne débarquent. »
 
« On va me prendre pour une folle si je parle de tout ca, on va m'emfermer. Ou on va me faire devenir une femme ! Il est bien mieux pour moi de ne rien faire. »
 
« Que croit tu que tu es là maintenant ? Andréa veux te vendre, alors as tu vraiment quelque chose a perdre ? Voilà maintenant des mois que je cherche à t'aider, et voilà dès mois que tu ne fais rien. Alors prend ton courage à deux mains. Bats toi comme la femme libre que tu dis être. Rend toi à Zakros
Demande Eugene Aras de ma part »
 
« De votre part mais vous...vous n'existait pas... »
 
L'esprit c'était envolé à cette dernière phrase laissant Théa penaud.
 
Cette dernière se réveilla en vomissant sur les pied d'Andréa qui lui valut une air sévère et une baffe sur la joue.
Les larmes montaient a ses yeux mais elle les empêcha de couler. Réa, même si elle n'avais pas l'air d'exister avait bien raison. Pendant trop longtemps elle avais refouler ses problèmes sans vraiment chercher à les comprendre. Il faut faire fasse maintenant.
Elle se releva alors motivée plus que jamais et conçue très rapidement un plan. De quoi s'échapper. De quoi trouver ce fameux Eugène Aras. Peut-être que c'est quelqu'un qui n'existe même pas mais il n'était pas question pour Théa de rester là les bras croisées, à pleurer.
 
Après l'humiliation qu'elle avais subit, elle decida de suivre docilement Andréa à travers la Maison. Non ce n'est pas une maison habituel, ou la famille est reine. Non ici la maison c'est seulement la ou « Les Filles » dorment et celle ci entoure le « jardin » là ou ces mêmes filles sont exposées à la vue des visiteurs, exposées à de futurs acheteurs. Acheteurs le temps d'une heure ou le temps d'une vie, cela seul les Dieux le savent.
 
Andréa, Théa et Magda entrèrent dans une pièces très étroites ou seul deux couchettes avaient leurs place.
La maitresse de maison brandit une cléf devant le visage de Théa qui s'efforçait de ne dire mots et expliqua :

« Mesdemoiselles, vous êtes toutes les deux vierges et de ce fait, je ne peux prendre aucun risque. Par risque j'entend de vous mélanger aux autres filles qui par jalousies pourraient vous violenter. Cette pièce est vide et depourvu d'objet avec lequels vous pourriez essayer de vous enlever vous même votre virginité. Nous faisant perdre ainsi beaucoup d'argent. »

Théa s'empecha de rire car, au grand jamais elle n'aurait fais une chose pareille. Andréa leurs tourna le dos pour sortir de la pièce et elle invita les filles à en faire de même. Elle ferma la porte à clef

« Inutile de vous préciser que quand vous ne serez pas dans le jardin à faire les jolies c½urs avec nos hommes, vous serez toutes les deux enfermées ici»

« Mais Madame il n'y à même pas de fenêtre dans cette pièce ! » Magda avait protestée, pour la premiere fois »

Une claque s'était abattue sur sa joue à présent rougie.

« Mon pauvre petit oiseau, si tu crois que je me soucis du fait qu'il y ai une fenêtre ou non, laisse moi te dire que tu es loin de la vérité. Tant que tu n'est pas vendue tu ne vaux pas plus qu'un b½uf.

Alors tais toi, et si tu proteste encore une fois, je me chargerais de te faire taire d'une toute autre manière ! »
 
Magda baissa le regard vers le sol et regarda ses pieds.
 
« Bien reprenons la visite les filles »
 
La visite repris alors. On y decouvrit une pièce remplie de vêtement, une pieces pleine de bijoux. Une pièce pleine de maquillage et une pièce pleine de femmes en pleurs.

Elles pleuraient leurs familles, leurs sors, tandis que d'autres paraissaient ailleurs.

« Les filles, il va falloir vous preparer, ces messieurs ont besoin de vous ! »
 
Andréa prit Théa et Magda par le bras d'une poignet de fer.
 
« Aujourd'hui et dans les quelques jours à venir, c'est Appoline qui se chargera de vous, et de votre présentation » Sur ce elle guida Magda et Théa vers la dite Appoline. Celle ci eu un grand sourir, le seul moment chaleureux depuis plusieurs heures.
 
Avec un signe de la main elle conduisa les deux jeunes femmes vers une salle d'eau. De là elle leurs demanda de se deshabiller et de se laver.
L'odeur de l'eau sentait merveilleusement la Lavande. La saleté enlevée, Appoline s'éloigna vers la salle des robes pour demander à Théa et Magda d'en enfiler une.

Théa savait que ce petit manège l'emmènerais directement au jardin. Mais elle s'etait prise au jeux et avait fais une tresse dans les cheveux. La robe qu'Appoline avais choisis etait blanche et douce. Presque la même qu'elle avais lorsqu'elle avais attendu Hélias en vain.
Elle s'empressa d'oublier cette image, cette histoire avec Hélias pour garder son sang froid.

 
Avec une main sur l'Epaule de Théa Appoline essayer de détendre Théa.
« Je ne suis pas très bonne pour les conseils, mais Magda a prévu de te marier, car tu es trop vieille et faire de toi une fille de joie ne sera bientôt plus rentable. Alors aujourd'hui, tu as le droit de refuser des clients. Ne donne pas ta virginité, sois patiente. Et si tu peux, choisis ton mari »
 
Les détails de la mise en beauté sont passer et Théa rejoigna le jardin ou elle décida, de se mettre elle et sa robe sur un banc sous un cerisier.


Les hommes passèrent. Certains étaient vieux, d'autres jeune. Parfois timides et de temps en temps un peu trop préssé.
Mais Théa les ignora tous. Elle resta sur son banc à sourire ou un feindre un air d'abrutie quand l'homme qui la regardais ne lui plaisait pas du tout.

 
Les jours passèrent et la routine c'etait installer.

Levée au levée du soleil. Petit repas, hygiène corporel pour tout le monde et inspection medicale pour celle qui couchait avec les hommes. Retour dans la chambre, passer la journée et être enfermée dans cette fichue pièce etroite.

 
Le jardin etait pour la plus part des filles de la Maison une source de souffrance puisqu'il s'agissait de vendre son corps. Pour Théa c'etait un baume pour son c½ur. Enfermée pendant des heures, le peut de fois où elle sortait elle était heureuse.
 
Nous étions au beau milieu de l'été, et le soleil frappait le jardin. Un homme c'était présenter, il etait plutôt à l'aise. Pour la premiere fois Théa laissa l'homme s'assoir a ses côtés.
Sans un mots, il lui pris la main et l'embrassa délicatement.

« La lavande... de beaux cheveux blond... et un cerisier, quelle paysage romantique »

 
Théa reprima un sourir car elle savais à quoi s'attendre avec un beau parleur, l'homme ria lui aussi, voulant sans doute détendre l'atmosphère.

« Je m'apelle Achille et vous jeune demoiselle ? »

« Théa »

« Théa....? »

« Appelez moi juste Théa »
« Ma douce, lorsque je vous aurait acheter, je peux vous dire que vous et votre corps n'auraient plus aucun secrets pour moi »

 
Son sourire était grand, ses lèvres étaient pleines et son envie de posséder une femme titanesque. Cela rendait Théa très mal à l'aise. C'était l'homme le plus courtois qu'elle avait rencontrer depuis Hélias. Mais c'est aussi l'homme qui avais l'air de ne pas avoir qu'un tour dans son sac.
 
« Tu ne répond pas ? Peut importe. Ou est cette bonne Andréa, que je te paye le plus rapidement possible. »

« Elle arrive Monsieur »

 
En effet, elle se dirigais vers le banc où Théa avait pour habitude de s'asseoir. Son instinc avait flairer l'odeur des affaires, l'odeur de la victoire. Elle aller enfin se debarasser de cette vieille fille et avoir de quoi se payer les nouvelles plus belle robes de la ville.
 
« J'ai cru comprendre qu'on avais besoin de moi ? »
«  En effet, cette demoiselle n'a pas l'air bien bavarde alors j'aimerais savoir quelque détails à son propos »

« Des détails en vu de la baiser ou en vue de la faire devenir votre femme ? »
« Oh, et bien les deux si possible »

 
Théa rougissait de honte qu'on parle ainsi d'elle alors qu'elle à côtés des deux personnes. Autrefois elle aurait bondis de son banc, aurant gifler cet homme et insulter cette femme mais elle n'avais pas la mémoir courte. Elle savais que le seul moyen de sortir de cette prison d'OR etait de laisser les choses faire. Alors elle ce taisait et garder la tête basse.
 
« Et bien, autrefois elle travaillais au champs, donc elle se débrouille pas mal. Ce n'est pas une empoté. Elle n'a jamais été mariée. Je n'ai jamais eu besoin de lui affligé une punition sévère, et... oh j'allais oublier ! Elle est vierge. Ce caractère etant vérifier par moi même, je peux vous garantire qu'elle l'est. Et qu'elle le restera jusqu'à ce que vous décider de la prendre. »
 
« Cela me semble fort intéressant. Qu'appelez vous une punition sévère ? »

«  Je me rappelle du lendemain de l'arrivée de Théa et d'une autre fille qui était venue en même temps qu'elle. Cette dernière avait essayer, en allant dans la salle des robes de retirer sa virginité. Vous comprenez bien que cela représente une énormes perte de bénéfice pour moi. Je l'ai alors recommander à des hommes qui avaient des pratiques... particulière en matière de sexe. La pauvre à pleurer pendant des heures, mais le règlement, c'est le règlement »

« J'aime les femmes comme vous Andréa »

« Malheureusement pour vous, je suis déjà mariée »
 
Leurs mini jeux de séduction continua tandis que Théa se remémorai cette journée. Elle se rappelle de Magda, qui poussée violemment par Andréa avait attérie sur son couchage. La pauvre était a peine habillée et de long trace rouge et boursouflée lui parsemé le dos. Théa ne lui avais pas parler par respect et depuis ce jour elle s'etait mis en tête de devenir la plus gentille des « Filles » de sorte à ne pas avoir à faire à un homme qui aimer s'attaquer à une femme avec un fouet.
 
Les frissons d'horreur de Théa s'arrêtèrent lorsqu'elle compris que les deux individus la regardaient avec insistance.
 
« Allons signer les papiers. Théa, tu viens avec nous. »
 
Elle les suivais sans rien dire. Pour la première fois depuis que ses parents l'avaient abandonner elle entra d




Cela ne faisait pas bien longtemps que Théa avait eu son problème de perte de conscience que de nouveau, il revenait à la charge.

Elle accueillis la nouvelle non pas avec angoisse. Mais avec soulagement. Ici il n'y avais pas Andréa, Magda ou encore le Blond et le Brun.

Maintenant quelle ne se débattait plus, elle n'était plus enchaînée dans cette espèce de prairie, le temps était clément et elle put réfléchir. Réfléchir à son dernier saut dans le « surnaturel » elle avait pus apprendre ce qui s'était passé entre Carios et Réa et elle plaignait cette femme. Comment avait elle pus supporter de porter le bâtard de son maris en elle ? Elle n'avais rien demander et voilà qu'Athéna par souhait égoïste faisait de la vie de Réa, une vie qu'elle n'avais pas choisis.

Encore dans ses plaintes, Théa vie apparaitrre au bout de quelque minute une ombre, celle de Réa justement.

 

« Ma Belle, tes prière soulage mon c½ur, mais ta situation m'inquiète. Je n'ai jamais le temps de tout t'expliquer alors c'est à toi de chercher. Cherche autour de toi. Renseigne toi sur ta famille, sur moi sur tes visions. Mais ne parle pas sans avoir confiance, évite Andréa au maximum. Ne fait pas de résistance. Tu as la chance d'avoir ton avenir entre tes mains, alors profite en avant que les Parques ne débarquent. »

 

« On va me prendre pour une folle si je parle de tout ca, on va m'emfermer. Ou on va me faire devenir une femme ! Il est bien mieux pour moi de ne rien faire. »

 

« Que croit tu que tu es là maintenant ? Andréa veux te vendre, alors as tu vraiment quelque chose a perdre ? Voilà maintenant des mois que je cherche à t'aider, et voilà dès mois que tu ne fais rien. Alors prend ton courage à deux mains. Bats toi comme la femme libre que tu dis être. Rend toi à Zakros

Demande Eugene Aras de ma part »

 

« De votre part mais vous...vous n'existait pas... »

 

L'esprit c'était envolé à cette dernière phrase laissant Théa penaud.

 

Cette dernière se réveilla en vomissant sur les pied d'Andréa qui lui valut une air sévère et une baffe sur la joue.

Les larmes montaient a ses yeux mais elle les empêcha de couler. Réa, même si elle n'avais pas l'air d'exister avait bien raison. Pendant trop longtemps elle avais refouler ses problèmes sans vraiment chercher à les comprendre. Il faut faire fasse maintenant.

Elle se releva alors motivée plus que jamais et conçue très rapidement un plan. De quoi s'échapper. De quoi trouver ce fameux Eugène Aras. Peut-être que c'est quelqu'un qui n'existe même pas mais il n'était pas question pour Théa de rester là les bras croisées, à pleurer.

 

Après l'humiliation qu'elle avais subit, elle decida de suivre docilement Andréa à travers la Maison. Non ce n'est pas une maison habituel, ou la famille est reine. Non ici la maison c'est seulement la ou « Les Filles » dorment et celle ci entoure le « jardin » là ou ces mêmes filles sont exposées à la vue des visiteurs, exposées à de futurs acheteurs. Acheteurs le temps d'une heure ou le temps d'une vie, cela seul les Dieux le savent.

 

Andréa, Théa et Magda entrèrent dans une pièces très étroites ou seul deux couchettes avaient leurs place.
La maitresse de maison brandit une cléf devant le visage de Théa qui s'efforçait de ne dire mots et expliqua :


« Mesdemoiselles, vous êtes toutes les deux vierges et de ce fait, je ne peux prendre aucun risque. Par risque j'entend de vous mélanger aux autres filles qui par jalousies pourraient vous violenter. Cette pièce est vide et depourvu d'objet avec lequels vous pourriez essayer de vous enlever vous même votre virginité. Nous faisant perdre ainsi beaucoup d'argent. »

Théa s'empecha de rire car, au grand jamais elle n'aurait fais une chose pareille. Andréa leurs tourna le dos pour sortir de la pièce et elle invita les filles à en faire de même. Elle ferma la porte à clef

« Inutile de vous préciser que quand vous ne serez pas dans le jardin à faire les jolies c½urs avec nos hommes, vous serez toutes les deux enfermées ici»

« Mais Madame il n'y à même pas de fenêtre dans cette pièce ! » Magda avait protestée, pour la premiere fois »

Une claque s'était abattue sur sa joue à présent rougie.

« Mon pauvre petit oiseau, si tu crois que je me soucis du fait qu'il y ai une fenêtre ou non, laisse moi te dire que tu es loin de la vérité. Tant que tu n'est pas vendue tu ne vaux pas plus qu'un b½uf.


Alors tais toi, et si tu proteste encore une fois, je me chargerais de te faire taire d'une toute autre manière ! »

 

Magda baissa le regard vers le sol et regarda ses pieds.

 

« Bien reprenons la visite les filles »

 

La visite repris alors. On y decouvrit une pièce remplie de vêtement, une pieces pleine de bijoux. Une pièce pleine de maquillage et une pièce pleine de femmes en pleurs.

Elles pleuraient leurs familles, leurs sors, tandis que d'autres paraissaient ailleurs.


« Les filles, il va falloir vous preparer, ces messieurs ont besoin de vous ! »

 

Andréa prit Théa et Magda par le bras d'une poignet de fer.

 

« Aujourd'hui et dans les quelques jours à venir, c'est Appoline qui se chargera de vous, et de votre présentation » Sur ce elle guida Magda et Théa vers la dite Appoline. Celle ci eu un grand sourir, le seul moment chaleureux depuis plusieurs heures.

 

Avec un signe de la main elle conduisa les deux jeunes femmes vers une salle d'eau. De là elle leurs demanda de se deshabiller et de se laver.
L'odeur de l'eau sentait merveilleusement la Lavande. La saleté enlevée, Appoline s'éloigna vers la salle des robes pour demander à Théa et Magda d'en enfiler une.

Théa savait que ce petit manège l'emmènerais directement au jardin. Mais elle s'etait prise au jeux et avait fais une tresse dans les cheveux. La robe qu'Appoline avais choisis etait blanche et douce. Presque la même qu'elle avais lorsqu'elle avais attendu Hélias en vain.
Elle s'empressa d'oublier cette image, cette histoire avec Hélias pour garder son sang froid.


 

Avec une main sur l'Epaule de Théa Appoline essayer de détendre Théa.

« Je ne suis pas très bonne pour les conseils, mais Magda a prévu de te marier, car tu es trop vieille et faire de toi une fille de joie ne sera bientôt plus rentable. Alors aujourd'hui, tu as le droit de refuser des clients. Ne donne pas ta virginité, sois patiente. Et si tu peux, choisis ton mari »

 

Les détails de la mise en beauté sont passer et Théa rejoigna le jardin ou elle décida, de se mettre elle et sa robe sur un banc sous un cerisier.



Les hommes passèrent. Certains étaient vieux, d'autres jeune. Parfois timides et de temps en temps un peu trop préssé.
Mais Théa les ignora tous. Elle resta sur son banc à sourire ou un feindre un air d'abrutie quand l'homme qui la regardais ne lui plaisait pas du tout.


 

Les jours passèrent et la routine c'etait installer.


Levée au levée du soleil. Petit repas, hygiène corporel pour tout le monde et inspection medicale pour celle qui couchait avec les hommes. Retour dans la chambre, passer la journée et être enfermée dans cette fichue pièce etroite.


 

Le jardin etait pour la plus part des filles de la Maison une source de souffrance puisqu'il s'agissait de vendre son corps. Pour Théa c'etait un baume pour son c½ur. Enfermée pendant des heures, le peut de fois où elle sortait elle était heureuse.

 

Nous étions au beau milieu de l'été, et le soleil frappait le jardin. Un homme c'était présenter, il etait plutôt à l'aise. Pour la premiere fois Théa laissa l'homme s'assoir a ses côtés.
Sans un mots, il lui pris la main et l'embrassa délicatement.

« La lavande... de beaux cheveux blond... et un cerisier, quelle paysage romantique »


 

Théa reprima un sourir car elle savais à quoi s'attendre avec un beau parleur, l'homme ria lui aussi, voulant sans doute détendre l'atmosphère.

« Je m'apelle Achille et vous jeune demoiselle ? »

« Théa »

« Théa....? »

« Appelez moi juste Théa »
« Ma douce, lorsque je vous aurait acheter, je peux vous dire que vous et votre corps n'auraient plus aucun secrets pour moi »


 

Son sourire était grand, ses lèvres étaient pleines et son envie de posséder une femme titanesque. Cela rendait Théa très mal à l'aise. C'était l'homme le plus courtois qu'elle avait rencontrer depuis Hélias. Mais c'est aussi l'homme qui avais l'air de ne pas avoir qu'un tour dans son sac.

 

« Tu ne répond pas ? Peut importe. Ou est cette bonne Andréa, que je te paye le plus rapidement possible. »

« Elle arrive Monsieur »


 

En effet, elle se dirigais vers le banc où Théa avait pour habitude de s'asseoir. Son instinc avait flairer l'odeur des affaires, l'odeur de la victoire. Elle aller enfin se debarasser de cette vieille fille et avoir de quoi se payer les nouvelles plus belle robes de la ville.

 

« J'ai cru comprendre qu'on avais besoin de moi ? »
«  En effet, cette demoiselle n'a pas l'air bien bavarde alors j'aimerais savoir quelque détails à son propos »


« Des détails en vu de la baiser ou en vue de la faire devenir votre femme ? »
« Oh, et bien les deux si possible »


 

Théa rougissait de honte qu'on parle ainsi d'elle alors qu'elle à côtés des deux personnes. Autrefois elle aurait bondis de son banc, aurant gifler cet homme et insulter cette femme mais elle n'avais pas la mémoir courte. Elle savais que le seul moyen de sortir de cette prison d'OR etait de laisser les choses faire. Alors elle ce taisait et garder la tête basse.

 

« Et bien, autrefois elle travaillais au champs, donc elle se débrouille pas mal. Ce n'est pas une empoté. Elle n'a jamais été mariée. Je n'ai jamais eu besoin de lui affligé une punition sévère, et... oh j'allais oublier ! Elle est vierge. Ce caractère etant vérifier par moi même, je peux vous garantire qu'elle l'est. Et qu'elle le restera jusqu'à ce que vous décider de la prendre. »

 

« Cela me semble fort intéressant. Qu'appelez vous une punition sévère ? »

«  Je me rappelle du lendemain de l'arrivée de Théa et d'une autre fille qui était venue en même temps qu'elle. Cette dernière avait essayer, en allant dans la salle des robes de retirer sa virginité. Vous comprenez bien que cela représente une énormes perte de bénéfice pour moi. Je l'ai alors recommander à des hommes qui avaient des pratiques... particulière en matière de sexe. La pauvre à pleurer pendant des heures, mais le règlement, c'est le règlement »

« J'aime les femmes comme vous Andréa »


« Malheureusement pour vous, je suis déjà mariée »

 

Leurs mini jeux de séduction continua tandis que Théa se remémorai cette journée. Elle se rappelle de Magda, qui poussée violemment par Andréa avait attérie sur son couchage. La pauvre était a peine habillée et de long trace rouge et boursouflée lui parsemé le dos. Théa ne lui avais pas parler par respect et depuis ce jour elle s'etait mis en tête de devenir la plus gentille des « Filles » de sorte à ne pas avoir à faire à un homme qui aimer s'attaquer à une femme avec un fouet.

 

Les frissons d'horreur de Théa s'arrêtèrent lorsqu'elle compris que les deux individus la regardaient avec insistance.

 

« Allons signer les papiers. Théa, tu viens avec nous. »

 

Elle les suivais sans rien dire. Pour la première fois depuis que ses parents l'avaient abandonner elle entra dans le bureau de Monsieur Ydra.

 

« Mon cher, nous avons enfin un acheteur pour la demoiselle »

« Ah quelle brave fille ! »

Monsieur Ydra devait être l'homme le plus hypocrite que Théa connaissait. Mais elle s'en fichait parce que dès aujourd'hui elle allais sortir du « Jardin » ou de la « Maison ».
Durant un instant elle eu une penser pour les autres filles, pour Magda qui ne s'était jamais remis de ses blessures mais peut importe.
Il faut savoir être égocentrique parfois.


 

Pendant les deux semaines qui avait suivie cette scène Achille avait petit à petit interdit à Théa de sortir. Il ne voulais pas qu'elle rencontre trop de gens. Qu'un autre la déflore avant lui ou pire, qu'elle s'en aille et entende les rumeurs qu'il existe sur lui.



ans le bureau de Monsieur Ydra.
 
« Mon cher, nous avons enfin un acheteur pour la demoiselle »
« Ah quelle brave fille ! »

Monsieur Ydra devait être l'homme le plus hypocrite que Théa connaissait. Mais elle s'en fichait parce que dès aujourd'hui elle allais sortir du « Jardin » ou de la « Maison ».
Durant un instant elle eu une penser pour les autres filles, pour Magda qui ne s'était jamais remis de ses blessures mais peut importe.
Il faut savoir être égocentrique parfois.

 
Pendant les deux semaines qui avait suivie cette scène Achille avait petit à petit interdit à Théa de sortir. Il ne voulais pas qu'elle rencontre trop de gens. Qu'un autre la déflore avant lui ou pire, qu'elle s'en aille et entende les rumeurs qu'il existe sur lui.




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#Posté le vendredi 11 mars 2016 08:00

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